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d'accès au Théâtre de verdure de Jazzaparc
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Photos
des CONCERTS : 4 , 5 , 6 août 2006 //
DVD
5 août 2006
à
21h
Grande soirée de CONCERT
avec Maurice ANDRE
+ DUO, QUARTET ...
Interviews des musiciens
|
Composition du Big Band
ex Orchestre de l'Olympia reconstitué
L'Olympia
est inscrit au Patrimoine Français: le
Lieu du Music Hall de l'Olympia, Bd des Capucines à Paris
et son Orchestre
|
Au Théâtre
de verdure
de Jazzaparc
Trompettes
Bernard Balestier 1er trompette
du splendid
René Caron Big
Band Connexion / Garde républicaine / a joué
et bien connu G. Gay dit Gégé
Roger Guerin Soliste bien
connu / a joué avec
les plus grands: Dizzy Gillespie, Django
Reinhardt, Kenny Clarke, Double Six, Martial Solal ...
Laurent Rieu Quintette
de Roger Guerin et Livre sur R.Guerin
Trombones
André Paquinet Fameux
tromboniste / 1er de C. Bolling / sollicité
par D. Ellington, Q. Jones, F. Sinatra
Fabien Cyprien Formation
A.Paquinet / Sideman
Jean Marc Farinone Formation
A.Paquinet / Sideman
Philippe Henry Trombone
basse C.Bolling /
Sideman
Saxophones
Pascal Thouvenin Big
Band Connexion / réputé pour ses
transcriptions
José Germain Big
Band Connexion / ex leader des Swingles Singers / très
proche des Double Six
Dominique Vernhes Big
Band Connexion / Sideman Aveyronnais réputé
à Paris
Loïc Laporte Jeune
Toulousain pétri de talent, présenté
par Jazzaparc
Gilbert Romero Big band
de Nimes
Batterie
Armand Cavallaro Chef d'orchestre
du Big Band de Nice / ex coleader du Big Band de l'Olympia
Contrebasse
Eric Gadet Quintette de
R.Guerin
Guitare
Olivier Giraudo Orchestre
de R.Ronchaud /
Armand Cavallaro
Piano
Jean Michel Defaye Compositeur
arrangeur connu / 1er grand prix de Rome
Charles Tois Duo et quintette
de R.Guerin
Invités
Jean Michel Boris Ex grand
patron de l'Olympia de Paris pendant plus de 40 ans
Paul Capdevielle "Sentimental
trompette" / délégué
pour présenter le spectacle
Raymond Fonsèque Trombone
/ ex trombone du 1 er orchestre de l'olympia
Gérard Saurel Sax
alto Big band de
Nîmes / quintette R. Guerin
Didier Vallet Batterie
/ quintette R. Guerin
|
Georges Gay, alors 1er trompette de Aimé
Barelli.
C'est l'orchestre de Aimé Barelli qui a inauguré
l'OLYMPIA devenu Music Hall en 1954.
Entre 1964 et 1974,
le Grand Orchestre de l'OLYMPIA était
composé
de
1er Trompette
Georges
GAY
Trompettes
Gilbert
Diaz
Alex Renard
René Léger
1er Trombone
Michel
Paquinet
Trombones
Gaby
Vilain
Francis Lussier
1er Saxophone
Joseph
Hrasko
Saxophones
Georges
Bessières
Georges Grenu
Denis Fournier
Marcel Hrasko
Piano- orgue
Jean
Guiraud
Basse
Daniel
Giaccardo
Guitare
Francis
Lemaguer
Batterie
Armand
Cavallaro
Voici
comment est né le fabuleux Orchestre de l’OLYMPIA
de Paris.
Le 5 février 1954, Un premier grand spectacle de Music
Hall est donné à L'Olympia.
En 1ère partie: spectacle d'attractions diverses -
parmi les artistes Gilbert BECAUD, jeune chanteur qui donne
3 chansons.
En 2ème partie: Tour de Chant de Lucienne DELISLE,
accompagnée par le grand orchestre de Aimé BARELLI.
Le 5 Novembre 1954 arrivée à l'Olympia de Jean
Michel BORIS à la demande de Bruno COQUATRIX
Quelques temps après, Bruno Coquatrix fait appel à
son copain de l'orchestre de Ray VENTURA, Gaston LAPEYRONIE
pour diriger un orchestre accompagnateur à l'Olympia.
L'orchestre joue dans la fosse et acompagne les vedettes de
la chanson de l'époque.
En 1955 Edith PIAF donne son tour de chant à l'Olympia.
Son chef d'orchestre CHAUVIGNY, son accordéoniste et
son guitariste devant être intégrés à
l'orchestre, il est décidé d'installer l'orchestre
sur la scène, ce qui constitue une première.
Mais il ne s'agit que d'un essai ponctuel, et par la suite
l'orchestre retourne dans la fosse, et progressivement l'habitude
de remonter sur la scène lors de certains spectacles
s'installe et l'orchestre finit par y rester en permanence.
Pendant cette période deux bigs band, l'orchestre de
Jacques DENJEAN et l'orchestre de Daniel JANIN ( 7 ou 8 musiciens
communs aux deux orchestres) constitué de jeunes musiciens
brillants font vivre le répertoire pour big band de
jazz
A Partir de 1960, l'Orchestre de Daniel JANIN répète
pour le plaisir de jouer du jazz en grande formation au studio
rue René Boulanger près de la porte Saint Martin
derrière le théatre de la Renaissance, à
Paris. ( 3 trombones).
Cet orchestre doué et très sympathique jouait
de très belles orchestrations Jazz de Daniel JANIN.
Cependant cet orchestre n'avait pas beaucoup d'affaires, ayant
à faire face d'une certaine façon au barrage
des musiciens de studio, très expérimentés,
qui existait d'autant plus que plusieurs Music Halls célèbres
avaient vendu leur immeuble aux promoteurs pour devenir des
parkings ou autres: Gaumont Palace, le plus grand cinéma
d'Europe / fréqemment dédié au Music
hall, l'Alhambra, l'ABC etc....
L'orchestre de Jacques Denjean avait beaucoup plus d'affaires
notamment dans les bases américaines de Chateauroux
Orléans et Evreux et Maison de la Culture de Bourges.
En Septembre 1961, l' orchestre de Daniel JANIN se retrouve
sur la scène de l'Olympia qui servait occasionnellement
de studio d'enregistrement, faute de disponibilité
de dernière minute du studio René Boulanger.
Bruno Coquatrix passant dans la salle est très impressionné
par le son et l'allure d'un orchestre de jazz dans son Music
hall. Ayant une véritable illumination, il décide
d'embaucher cet orchestre sur un coup de tête.
C'est Daniel Janin qui en assure la direction, (3 trombones),
les 3 trompettes sont Ivan Julien, Boursault, Adrien Féraud,
Raymond Fonsèque occupe le poste de 1er trombone, Marc
Steckar, Emile Vilain sont les 2 autres trombones..
Le tout premier programme de l' orchestre a été
celui de Johnny Hallyday jeune. A cette occasion, Raymond
Fonsèque, qui était l'arrangeur de plusieurs
titres et chef d'orchestre renforce le pupitre des trombones
en adjoignant François Guin, (qui d'ailleurs montera
plus tard son propre big band).
L'orchestre accompagne de nombreuses vedettes pendant 3 ans:
Sylvie VARTAN, Paul ANKA, Jacques BREL, Giliola CINCUETTI,
MILVA, Trini LOPEZ, Gilbert BECAUD, DALIDA, Petula CLARK,
John WILLIAMS, Les BEATLES...
Daniel Janin avait un statut particulier à l'Olympia:
il était lui même l'employeur des musiciens de
son orchestre.
A chaque fin de programme, le jour de la dernière les
musiciens avaient pour habitude faire des gags le plus souvent
à l'insu de la vedette, au point où Bruno Coquatrix
priait instamment les musiciens de s'abstenir de plaisanteries
saumâtres, tout en ne pouvant dissimuler un petit sourire
en coin plus ou moins complice.
Par exemple, les Djinns arrivant sur scène, ouvrent
leur ombrelle et d'un clic bien synchronisé se retrouvent
entièrement saupoudrées du talc que le régisseur
avait introduit dedans.
(La tradition de ces farces s'est perpétuée
juqu'en 1974: autre exemple Georges Gay arrive sur les épuales
de Enrico Macias avec un grand chapeau mexicain sur la tête,
une bouteille de whisky bien entamée et Enrico Macias
annonce: j'ai l'honneur de passer le micro au 1er trompette
de l'Orchestre qui va vous chanter "les millionnaires
du Dimanche", ce qu'il entonne d'une voix éraillée
et faussement éméchée, accompagné
par toute la salle qui reprend en choeur la chanson - tonnerre
d'applaudissements !).
Revenons à 1963: le pupitre de trombone se réduit
à 2 et l'orchestre accueille une flute et deux ou 3
violons.
L'orchestre qui était à l'origine un pur orchestre
de jazz est devenu progressivement un orchestre de variété.
Dans cette période, entre le service de l'après
midi du samedi et celui du soir Frank Thénot et Daniel
Filipacchi organisaient des concerts de jazz avec des grandes
vedettes américaines telles que John COLTRANE et les
plus célèbres jazzmen du moment (le Dimanche,
il y avait 2 services l'après midi et un le soir)
Il y a eu deux cofacteurs qui sont à l'origine du remplacement
de l'orchestre de Daniel Janin pourtant excellent, à
l'issue de ces 3 années par un nouvel orchestre.
1 - Les musiciens qui étaient plus ou moins bien payés,
avaient une grande tendance à se faire remplacer, surtout
durant les week ends. Or les vedettes qu'ils accompagnaient
ne retrouvaient plus leurs marques ni les mêmes sensations
qu’en semaine avec l'orchestre titulaire qui était
homogène et bien soudé.
Les vedettes de la chanson ne retrouvaient pas toujours leurs
marques.C'est Daniel JANIN qui a malheureusement et injustement
fait les frais de cette situation. Il faut signaler, ce que
personne ne sait, qu'il a lui même racheté à
grands frais un spectacle pour lequel un musicien titulaire
avait un autre engagement, voulant se faire remplacer pour
la première de Johnny Hallyday. Après des heures
de négociations avec ce musicien il a préféré
payer de sa poche pour garantir l'intégrité
de l'orchestre qui avait fait les répétitions.
Cela montre à quel point le problème des remplacements
était vif et comme le sujet sensibilisait fortement
le chef d'orchestre de l'époque
Bruno Coquatrix qui était très ami avec Daniel
Janin s'est entretenu avec lui de ce problème et en
commun accord Daniel Janin a souhaité céder
la place du premier orchestre titulaire à un nouvel
orchestre.
2 - Mais il y a une autre raison qui vient s'emboiter avec
la première:
Marlène DIETRICH en tour de chant à l'OLYMPIA,
avait beaucoup apprécié l'orchestre, et l'a
persuadé de la suivreou dans une tournée en
Suède en mai 1964 à Goteborg dans le grand parc
d'attractions Liseberg, au TIVOLI ( une sorte de Lunapark.
Daniel JANIN avait donc quartier libre avec Bruno COQUATRIX
pour partir avec elle et son orchestre
Un jeune américain arrangeur de grand talent, Burt
BACRACH qui avait composé la musique accompagnait la
tournée, collaborait avec Daniel JANIN et jouait parfois
au piano.
L'orchestre a été remplacé ponctuellement
à l'Olympia pendant cette tournée.
Après quoi, certains éléments de l'orchestre,
tels que Michel GUIRAUD pianiste, Gilbert DIAZ trompettiste,
Emile VILAIN trombone, sont restés à l'Olympia
Dés lors, Bruno Coquatrix / Jean Michel Boris ont signé
un contrat avec la société de production de
Evelyne Guyot, qui gérait également les muisiciens
du LIDO, avec mandat d'embaucher les meilleurs musiciens Français
de studio en leur offrant un salaire plus élevé
que les salaires de leurs prédecesseurs. C'est ce qu'elle
a fait en un temps record. Les musiciens de studio étaient
moins enclin à partir en tournée ou sur les
routes en général et ils constituaient donc
un vivier beaucoup plus intéressant pour la direction
de l'Olympia, de par leur stabilité à Paris.
C 'est comme cela qu'est né l'Orchestre qui a exercé
de 1964 à 1974, dont les plus grandes vedettes mondiales
de la chanson, françaises et américaines disaient
qu'il était devenu le plus sûr au monde.
C'est l'exceptionnelle homogénéïté
de cet orchestre qui confère son empreinte et sa marque
au BIG BAND de l'OLYMPIA reconstitué en 2006.
|
4 août
à 21h 30
Quintette
Roger Guerin
Roger Guerin Trompette
Charles Tois Piano, Chant
Gérard Saurel Sax alto
Didier Vallet Batterie
Eric Gadet Contrebasse
avec ses amis du
Big
band de
l' OLYMPIA
|
Roger
Guerin
Trompettiste,
bugliste et chef d'orchestre français né à
Sarrebruck le 09/01/1926, Roger effectue des études
musicales classiques : violon (dès huit ans), puis
trompette au Conservatoire national de Paris où il
obtient les premiers prix de trompette (1949), de solfège
et de cornet (1950).
Il débute avec aimé Barelli (1947) puis rejoint
Tony Proteau (1949), Ray Ventura, Claude Bolling, Don Byas,
James Moody, Django Reinhardt, Bernard Pfeiffer, Michel Legrand,
Christian Chevallier...
En 1958, il représente la France au Festival de Newport,
obtient le prix Django Reinhardt de l'académie du Jazz
et profite du séjour parisien des Jazz Messengers pour
enregistrer, sous son nom, accompagné de Benny Golson
et Bobby Timmons. Compagnon fidèle de Martial Solal
et andré Hodeir, il joue également dans les
grands orchestres de Quincy Jones (1960, 1964) et Dizzy Gillespie
(1962). Il est aussi chanteur et fera partie des Blue Stars,
puis des Double Six. Il dirige l'orchestre du Casino de Paris
(1970/75), puis se consacre à l'enseignement, au CIM
et dans les conservatoires, tout en se produisant avec divers
groupes (Eddy Louiss, Michel de Villers, Martial Solal Big
Band...) et dirige son propre grand orchestre, Big-Band, Néo
Jazz Quartette...
Il enregistre notamment avec James Moody, Django Reinhardt,
Sadi, Bernard Pfeiffer, Jimmy Raney, Bobby Jaspar, Michel
Legrand, Armand Migiani, Martial Solal, André Hodeir,
Christian Chevallier, Jef Gilson, les Double-Six, Kenny Clarke,
Pierre Michelot, Raymond Fol, Francy Boland, Ivan Jullien,
Jack Dieval, Confluence, Philly Joe Jones (octete, Paris 1981).
D'être un technicien accompli lui permet sans doute
de concilier son attachement à Louis Armstrong et son
goût pour Miles Davis... Dans une sonorité cuivrée
ou feutrée, selon le contexte, il improvise aussi bien
sur le terrain du jazz classique que sur celui du jazz moderne.
Sur
sa collaboration avec Solal et Hodeir
Classé dans les ouvrages spécialisés
en tant que musicien du be-bop, il a cependant beaucoup travaillé
dans le domaine de la modernité dans le jazz en France
de 1950 à 1980, en participant au Jazz Groupe de Paris
d'André Hodeir, au quartette de Martial Solal à
la même époque, avec qui il crée la suite
en ré Bémol au Club St Germain, restée
comme l'une des oeuvres les plus originales pour l'époque,
avant d'intégrer son Big Band puis son Dodécaband.
L'esthétique
et la modernité développée
Roger Guérin continuera à travailler dans le
domaine de la modernité avec Martial Solal pendant
près de 30 ans. Il est l'auteur, avec d'autre créateurs
de cette époque, d'une véritable alternative
esthétique au Free Jazz qui arrivait alors en France.
L'expression de cette modernité reste à étudier,
aucun média ni aucune publication n'ayant jusqu'à
présent pris le phénomène en compte sur
le plan esthétique, à l'exception du tout nouveau
livre que Roger Guérin vient de co-écrire avec
Laurent Rieu, du département Musicologie de la Faculté
Paul Valéry de Montpellier, « Roger Guérin
– Une vie dans le Jazz ».
Un
spécialiste reconnu
Spécialiste de la trompette, du bugle et du cornet
à piston, il est l'auteur de divers articles techniques
qui font autorité dans les revues spécialisées.
En tête avec Miles Davis des sondages de popularité
effectués dans les revues de jazz des années
1950 à 1960, il reste actuellement l'un des rares musiciens
encore en activité, avec d'autres, qui ont développé
la modernité française face aux nouveautés
américaines, dans le jazz en France à la fin
du XX ème siècle.
Roger
Guerin a pour compagne Lily qui était la grande amie
de Dizzy Gillespie. Le trompettiste américain ne s'est
jamais caché d'être très amoureux d'elle.
Chaque fois que Dizzy venait à Paris, c'est chez Roger
et Lily qu'il allait.
Les fameux "Grand Echiquier" de Jacques Chancel
qui présentaient Dizzy Gillespie ont pu avoir lieu
grâce à Lily, notamment la rencontre avec Maurice
André lors de son propre "Grand Echiquier",
il faut le souligner.
"Pour Liliane, avec l'amour, toujours dans ce monde et
dans le prochain."
Dizzy Gillespie à Lily Guerin -1969
Lily Guerin est, malgré son age, la secrétaire
du Big Band de l'Olympia au sein de l'association Jazzaparc.
Elle est toujours aussi vive, pétillante, efficace
et inspirée. Elle soutient avec talent les concerts
ou prestations de Roger.
|
été
2006
Jacques Gay,
ses enfants, les
musiciens de l'Olympia, l'ex grand patron de l'Olympia, Jean
Michel Boris, Arnaud Delbarre, l'actuel patron de l'Olympia,
les chefs d'orchestre, Maurice André, de nombreux partenaires
émus par la situation de Georges Gay, tels que Dispatch,
L'ARDT en Midi Pyrénées, Jacques Carles à
Monteils, le Président du Comité du Tourisme
de l'Aveyron, La Sacem, de nombreux musiciens et amis, ont
tenu à rendre un hommage permettant de réhabiliter
Georges Gay dans la mémoire de ceux qui ne se souviennent
pas du personnage charismatique, drôle, généreux
qu'il a été durant toute sa vie de musicien
laissant entre autres un souvenir vivant du passé mémorable
de l'Olympia dans les années 1964 à 1974 surtout.
C’est ainsi qu’est née la session de 3
concerts d’Août 2006 :
4 août
Concert Jazz avec Roger GUERIN
en quintette avec ses amis du Big Band de l’Olympia
au théâtre de verdure de Jazzaparc
5 août
grande soirée de Concert avec le BIG BAND de l’OLYMPIA,
Maurice ANDRE, Duo, quintette, des interviews
de musiciens, de Jean Michel Boris (patron de l’Olympia
pendant presque 50 ans, il est l’homme qui est d’assez
loin celui qui a organisé le plus de concerts en France).
Concert au théâtre de verdure de Jazzaparc
6 août
Concert classique de Maurice ANDRE « Baroque en famille
», à la Cathédrale Sainte
Cécile d’Albi avec le grand orgue d’Albi
qui vient d’être entièrement relevé
par son facteur d’orgue : Michel Formentelli fils de
Barthélémy Formentelli, facteur qui a entièrement
reconditionné l’orgue de Sainte Cécile
d’Albi pour qu’il retrouve son timbre d’époque
au diapason de 398 / 400 : (réallongement des tuyaux,
recalibrage de nombreuses fonctions essentielles), tels qu’ils
avaient été conçus par Christophe Moucherel,
auteur de 12 orgues, (son premier orgue ayant été
réalisé en 1716 à l’age de 30 ans).
L’orgue de Sainte Cécile d’Albi a té
terminé en Novembre 1736..
Maurice André, Nicolas André, Béatrice
André, Jean Claude Françon, Benoit Zavaterro
et 25 trompettistes qui viendront soutenir Maurice André
dans le final,
Tous
les musiciens du Big band de l'Olympia sont adhérents
de l'association Jazzaparc.
Président
Jacques Gay
Vice président André Paquinet
Trésorier Armand Cavallaro
Secrétaire Lily Guerin
Secrétaire adjoint Benjamin Ramsden
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